Les maisons provisoires de Saint-Georges. Au fond, les habitations appelées « Métro » (1) du fait de leur forme.
D’autres cités provisoires ont été établies pour accueillir le retour des réfugiés. Une sur la route de Compiègne, une sur la route de Villers, la cité Baron et la cité Mouton qui se situait rue Saint-Médard. Cette dernière a perduré fort longtemps puisque le dernier habitant a quitté cette cité en 1982 !
Cette longévité de la cité peut s’expliquer par des loyers très bas et par le fait que les habitations avaient été aménagées (isolation, etc).