Sucrerie Labruyère, route de Paris.
A la volonté de nuire, s’ajoutait la volonté de récupérer des matériaux dits « riches » (bronze, cuivre, etc.), surtout dans les établissements locaux tels que la scierie par exemple.
Les allemands avaient détruit deux sucreries sur trois en 1917. La troisième, Lebaudy, avait échappé aux destructions à ce moment-là du fait de son utilisation par les allemands. Elle sera cependant détruite en 1918, lors du recul de l’armée allemande.
Après la guerre, une seule sucrerie sera reconstruite. Lebaudy rachète les dommages de guerre de Mandron et de Labruyère. Elle n’est pas rebâtie au même endroit. Elle est déplacée vers la ville. La sucrerie n’a plus déménagé depuis, évoluant au fil du temps (matériel et actionnaires).